Bioracer, fournisseur de vêtements, au service des athlètes, fournit en tenues de cyclisme d’incroyables athlètes, des champions olympiques depuis maintenant plusieurs décennies. Si Manon a ressenti le besoin de faire appel à nous, c’est parce nous partageons les mêmes valeurs : la recherche de la performance, de la vitesse et qu’elle souhaitait elle aussi, tout comme les champions avec qui nous travaillons, obtenir le niveau de performance le plus élevé possible.
S’accompagner de passionnés et de professionnels était indispensable pour elle ! Manon a vu en Bioracer, l’opportunité pour tendre un peu plus vers son objectif : devenir encore plus rapide et efficace sur le vélo pour obtenir les meilleurs résultats possibles au cours de ses compétitions. Voilà pourquoi la triathlète française a souhaité collaborer avec nous !
Manon est venue vers nous dans l’objectif de concevoir sa future et nouvelle tenue de triathlon et a tenu à nous rendre visite sur deux jours, du 31 Juillet au 1er Aout, afin d’en savoir plus sur nous, d’échanger de manière directe avec des professionnels du design et de l’aérodynamisme, ainsi que connaitre notre processus de production, nos produits et surtout, pour tirer des conclusions et des bénéfices de son passage au Speed Center et en soufflerie.
Après avoir visité le siège de Bioracer à Tessenderlo dans son intégralité, Manon a pu découvrir et s’intéresser à notre Speed Center équipé des systèmes Bioracer Motion Bioracer Aero. Un Speed Center offre aux cyclistes les meilleurs services pour améliorer leur confort et leur performance.
Bioracer Motion est un système intégré au Speed Center qui permet d’obtenir en instantanée, une vue et une analyse fine des mouvements de pédalages de l’athlète.Grace à ce système, nous pouvons étudier, améliorer la position sur le vélo de chacun afin de le rendre plus rapide et de lui éviter les blessures.
En addition, afin d’être encore plus performant, le système Bioracer Aero a été créé pour aider les athlètes à trouver la position la plus efficiente possible pour économiser des watts et gagner du temps.
Ces deux programmes ont amené Bioracer à créer le service « Individual » qui permet à n’importe qui d’être traité tel un professionnel, d’obtenir le meilleur service possible. L’athlète française a pu réaliser quelques premiers tests au sein du speed center afin de donner un premier aperçu de sa position sur son vélo une fois en situation de course.
Par la suite, Manon et un de nos designers ont pu travailler ensemble dans l’objectif de concevoir le design de sa future tenue de triathlon. Manon avait déjà une image claire de ce qu’elle recherchait, ce qui leur a permis de travailler de manière efficace et d’obtenir le résultat espéré en peu de temps.
Le deuxième jour, Manon a pu travailler le matin sa position sur le vélo.Les tests ont permis de tirer la conclusion suivante : en reculant la selle de quelques centimètres, Manon gagnait en confort, ce qui permettait de non pas gagner en aérodynamisme mais en puissance et donc en vitesse, ce qui est le plus important au final. Ce changement de position de selle a été et devrait être le changement le plus rentable en gains pour Manon.
Durant l’après-midi, c’est au Bikevalley, soufflerie située à deux kilomètres de Bioracer, où l’athlète française s’est dirigée.L’objectif était de savoir quelle tenue lui était la plus favorable à grande vitesse. Combien de watts différents équipements lui permettaient d’économiser afin d’optimiser ses gains en course.
Finalement, seuls les futurs entrainements et surtout les prochaines courses nous diront à quel point les conseils de Bioracer et de ses experts s’avéraient utiles pour Manon.
Cependant, quelques résultats sont d’ores et déjà identifiables : le travail de position sur le vélo réalisé grâce à Bioracer Motion et Bioracer Aero au sein du Speed Center permettra à Manon de rouler de manière aérodynamique mais dans une position bien plus confortable qu’elle ne l’était avant sa venue.
Plus de confort, plus de puissance déployée dans un temps plus long, un gain potentiel évident.
Enfin, en termes de watts économisés, les tests en soufflerie ont montré que la tenue la plus efficace, la plus aérodynamique pour notre athlète, était la combinaison « Speedmaster triathlon Kit » qui lui permet de gagner 13 watts en comparaison avec notre tenue classique de triathlon. De plus, le port de nos manchons aérodynamiques Speedwear est source d’un gain non négligeable de 5 watts. Indispensable pour gagner quelques secondes en fin de course.
Enfin, en ajoutant cela aux effets d’une position plus aérodynamique, à une vitesse de 43 km/h, Manon préserverait au moins 30 watts, irait ainsi 1,5 km/h plus vite et gagnerait donc au moins 10 précieuses minutes sur une distance de 180kms.
Satisfaire les besoins des athlètes est une des missions de Bioracer, Manon Genet nous a exprimé son sentiment suite à ses deux jours passés chez nous et s’est dite pleinement satisfaite du travail réalisé ici. Manon repart en France avec un nouveau design pour sa future tenue de triathlon conçu et commandé ainsi que de nouvelles certitudes quant à sa position à adopter dorénavant sur son vélo.
« Je suis très satisfaite avec l’ajustement de ma position sur le vélo, je me sens beaucoup mieux, avec moins de pression sur mes trapèzes et un meilleur ressenti sur la selle, je sens aussi que j’ai plus de puissance dans mes jambes grâce à un angle plus large de mes chevilles même si cela prendra beaucoup de temps pour habituer mes muscles à ces changements. J’ai aussi beaucoup apprécié le fait d’aller en soufflerie, essayer toutes les combinaisons pour voir laquelle me convenait le mieux. Merci au travail fait par le designer pour ma tenue de triathlon, c’est exactement ce dont j’avais besoin. Cela a été un plaisir de vous rencontrer, de découvrir votre approche avec le textile et les athlètes et d’en connaitre plus sur votre processus de production ». Prochaines courses et objectifs pour Manon Genet : le 70.3 ironman de Vichy fin Août et enfin les Mondiaux 70.3 ironman à Nice.
Née le 26 Juin 1989 à La Rochelle, Manon Genêt est aujourd’hui une triathlète professionnelle française. Fille de parents marathoniens, Manon s’adonne à la course à pied à l’âge de 16 ans, après une dizaine d’années dans la gymnastique en alternant avec cyclisme et natation.
Étudiante en école de commerce, Manon ne peut échapper à son destin et finit par se livrer à 100% dans les pratiques sportives quelques années après avoir fini ses études, période durant laquelle elle pratiquait le triathlon en amateur, pour enfin devenir professionnelle en 2017. Elle déclare préférer la pratique cycliste, partie de la course, où elle s’épanouit le plus et rattrape son retard sur ses rivales.